ANGTI : Le destin misérabiliste des anciens agents?

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Ils avaient pourtant reçu une garantie : celle de ne pas connaître le chômage.Hélas! L’agence nationale des grands travaux d’infrastructures (Gabon) a été supprimée le 02 octobre 2020 sans qu’il n’y ait au préalable le paiement des droits légaux et du bonus transactionnels des anciens agents.
Mieux, ceux  parmi eux qui l’auraient souhaité n’ont pas eu l’opportunité d’être intégrés au ministère des TP comme promis par le ministre de tutelle Léon Armel Bounda Balonzi,
Conséquences: ces agents et leurs familles connaissent aujourd’hui un abandon de la part de l’État et une précarité  qui progressivement, les réduisent au rang de misérabilistes. Impuissant, ils ne peuvent ainsi inscrire leurs enfants à l’école pour cette année académique 2021-2022.
Il urge donc que le gouvernement trouve une solution pour ces derniers afin de réduire les risques d’une implosion sociale chaque jour plus évidente mais surtout de leur reconnaître le droit à la justice sociale. Chaque ouvrier mérite son salaire ; ces familles ont en leur sein, des enfants qui sont l’avenir de demain.
Au nom du devoir de préserver l’avenir des jeunes générations, l’État doit refuser de se rendre complice de l’assassinat de l’espérance de ces pères et mères et de l’éclosion de leurs enfants.
Reconnaître leurs droits à ces familles,  c’est préserver leur dignité.

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