Whylton Ngouedi Marocko est travailleur social et exerce à Rome, en Italie. Né à Moanda, dans le Sud-est du Gabon, il aime rappeler ses origines modestes, ayant grandi dans le quartier de Diba-Diba, dans les Charbonnages à Libreville. Pour lui, il s’agit d’« un environnement difficile, délaissé par l’État, les pouvoirs publics, car il n’y a pas de loisirs pour les jeunes et où règne la pauvreté ». Diplômé en sciences politiques de l’Université Federico II de Naples, il est spécialiste en relations internationales, option paix, guerre et sécurité (Université Rome III). Il est titulaire d’un doctorat en droit public comparé et international de l’Université de Rome I La Sapienza.

Ses priorités, s’il est élu député de la diaspora, sont la création d’un « Fonds Spécial pour la Diaspora » afin de faciliter le retour au pays, mais également d’assister les compatriotes en détresse à l’étranger, ainsi que le financement total du rapatriement des dépouilles des Gabonais décédés hors du pays. Whylton Ngouedi Marocko entend se battre pour l’instauration d’une politique de priorité nationale pour les emplois au sein des représentations diplomatiques gabonaises à l’extérieur et les stages pour les étudiants.

Il souhaite également la mise en place d’un numéro de veille, actif 24h/24, pour les Gabonais vivant dans des pays à risque où le racisme est très présent, afin d’éviter des drames tels que les meurtres de certains Gabonais en Russie.

Son attachement à la dignité humaine l’a conduit à intégrer l’UNICEF Italie où il a travaillé comme speaker et fundraiser, puis il a rejoint la task force « Ricerca Azione » d’Amnesty International Italie.

La vision de Whylton Ngouedi Marocko ne concerne pas que la diaspora. Il entend être un député national et conduire une révolution sociale. Pour lui, l’éradication de la pauvreté passe par la mise sur pied d’une « Allocation Nationale de Solidarité » (A.N.S) pour les familles pauvres, les Gabonais sans emploi ou en recherche d’emploi. Une mesure concrète pour faire des Gabonais des gens véritablement dignes.

Il a d’ailleurs exposé sa vision de façon plus large dans son manifeste intitulé « Le Gabon que nous voulons. En avant vers le Socialisme Bantou-Pygmée ». https://www.amazon.fr/Gabon-voulons-avant-Socialisme-Bantou-Pygm%C3%A9e/dp/B0CZJ2N7YX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=31U41B4SY38FD&dib=eyJ2IjoiMSJ9.LTPZatbt3PIECSAyrPRDdw.xxyq-5pp1iTHQdJ7nfl26MBFVmP7VGx9Iv8PHSBCi-w&dib_tag=se&keywords=le+gabon+que+nous+voulons&qid=1712755427&sprefix=le+gabon+que+nous+voulons%2Caps%2C92&sr=8-1

”Depuis mes années au Lycée National Léon M’ba, j’ai toujours été convaincu que le progrès de notre pays passe par une révolution, autrement dit, une gouvernance à forte tonalité sociale” déclare-t-il.